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Le thé, nouvel élixir de jeunesse?
29-03-2006
Une étude de l’Hôpital Douglas évalue les effets bénéfiques des thés noir et vert
Le thé est peut-être plus qu’une boisson « tendance » qui remplace le café, selon des chercheurs du Centre de recherche de l’Hôpital Douglas (CRHD). Les résultats de leur étude, publiés récemment dans le European Journal of Neuroscience, indiquent que la consommation régulière de thé, noir ou vert, peut réduire le risque de maladies cérébrales dégénératives liées à l’âge, telles que la maladie d’Alzheimer.
« Nous avons examiné les effets protecteurs de deux extraits de thé et de leurs composants principaux, les catéchines, sur des cellules nerveuses en train de mourir », dit l’auteur en chef de l’étude, Rémi Quirion, Ph.D., directeur scientifique du CRHD et de l’Institut des neurosciences, de la santé mentale et des toxicomanies (des IRSC). « Nos conclusions indiquent que l’administration d’extraits tant de thé noir que de thé vert et de catéchines bloque de manière efficace la mort des neurones. Il s’agit de la première étude qui établit l’effet bénéfique du thé noir et du thé vert. »
Pour leur étude, Rémi Quirion et ses collaborateurs ont utilisé des cultures de cellules nerveuses (cultures de neurones) et les ont exposées à l’amyloïde, protéine réputée pour causer la maladie d’Alzheimer. Cette molécule est toxique et provoque la mort des neurones en cultures. Il apparaît que les neurones traités à la fois avec de l’amyloïde et d’extraits de thé et de catéchines ont résisté et survécu.
« Ces résultats illustrent clairement le rôle protecteur crucial des catéchines dans le système nerveux », dit Stéphane Bastianetto, scientifique au CRHD et auteur principal de l’étude. « Bien que nous n’ayons pas mené d’essais cliniques sur des sujets humains, notre recherche indique que la consommation régulière de thé, vert ou noir, peut effectivement diminuer le risque de maladies neurodégénératives telles que l’Alzheimer. »
L’étude a été financée par des subventions de recherche des Instituts de recherche en santé du Canada (IRSC).
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Le thé est peut-être plus qu’une boisson « tendance » qui remplace le café, selon des chercheurs du Centre de recherche de l’Hôpital Douglas (CRHD). Les résultats de leur étude, publiés récemment dans le European Journal of Neuroscience, indiquent que la consommation régulière de thé, noir ou vert, peut réduire le risque de maladies cérébrales dégénératives liées à l’âge, telles que la maladie d’Alzheimer.
« Nous avons examiné les effets protecteurs de deux extraits de thé et de leurs composants principaux, les catéchines, sur des cellules nerveuses en train de mourir », dit l’auteur en chef de l’étude, Rémi Quirion, Ph.D., directeur scientifique du CRHD et de l’Institut des neurosciences, de la santé mentale et des toxicomanies (des IRSC). « Nos conclusions indiquent que l’administration d’extraits tant de thé noir que de thé vert et de catéchines bloque de manière efficace la mort des neurones. Il s’agit de la première étude qui établit l’effet bénéfique du thé noir et du thé vert. »
Pour leur étude, Rémi Quirion et ses collaborateurs ont utilisé des cultures de cellules nerveuses (cultures de neurones) et les ont exposées à l’amyloïde, protéine réputée pour causer la maladie d’Alzheimer. Cette molécule est toxique et provoque la mort des neurones en cultures. Il apparaît que les neurones traités à la fois avec de l’amyloïde et d’extraits de thé et de catéchines ont résisté et survécu.
« Ces résultats illustrent clairement le rôle protecteur crucial des catéchines dans le système nerveux », dit Stéphane Bastianetto, scientifique au CRHD et auteur principal de l’étude. « Bien que nous n’ayons pas mené d’essais cliniques sur des sujets humains, notre recherche indique que la consommation régulière de thé, vert ou noir, peut effectivement diminuer le risque de maladies neurodégénératives telles que l’Alzheimer. »
L’étude a été financée par des subventions de recherche des Instituts de recherche en santé du Canada (IRSC).
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