Moi j'ai un choc post-traumatique, mais pour tous ceux qui sont comme moi, il y a toujours de l'espoir. Je suis en surveillance mais il y a toujours de l'espoir. Avec du temps et de la patience, ça va revenir à la normale. N'abandonnez pas.

Un jour, lorsque j'avais 9 ans et que j'avais le droit de voir ma mère et de rester avec elle, j'ai dû la sauver d'un suicide. À ce moment-là, j'avais compris que dans sa tête, il y avait quelque chose d'anormal.

J’ai un fils bipolaire. Il avait l’habitude de m’appeler souvent et on pouvait parler des heures au téléphone. Chaque fois qu’il appelait, il pleurait. Il disait qu’il avait des hallucinations, des idées noires. Ça a duré comme ça pendant plusieurs années.

Depuis peu de temps, j'ai remarqué chez ma fille des comportements qui me laissait voir que peut-être, elle aurait un déficit d'attention. J'ai consulté afin de prévenir des problèmes au niveau scolaire puisqu'elle n'a que 5ans.

As a Douglas 'alumnus' [6 years an outpatient and 4 months in-patient treatment); in my fifth decade of life, a student of law in a large Western Canadian city (my lowest grade is a "B"); and a volunteer in a local First Nation-Crown Attorney's office collaborative program bringing restorative justice systems to criminal offenders, I am writing, on reflection, to pass along a story.

Depuis trois ans, je me rétablis d’un trouble bipolaire. Le meilleur moyen que j'ai trouvé, c’est de m’impliquer et donner de mon temps. Je suis reconnaissant de pouvoir apporter quelque chose à d’autres personnes.

Cela fait maintenant 3 ans que le diagnostic de bordeline m'a été posé. Je dois dire que j'ai un peu paniqué quand on m'a parlé d'état limite... je me suis dit que j'étais pas pareille comme les autres au niveau psychique et que cela devait sûrement se voir comme le nez au milieu de la figure par mon comportement. Je me suis sentie rabaissée en une fraction de seconde. D'un autre côté, je me suis sentie rassurée que l'on puisse mettre enfin un nom sur mon ressenti. J'ai beaucoup de mal à ...

De 1989 à 2002, j'ai souffert d'anorexie et de quelques épisodes de boulimie. J'ai participé à quelques thérapies à la clinique des troubles de l'alimentation; soit en groupe et individuelle. Ce processus a duré près de 2 ans... 2 ans où 2 fois / semaine je devais m'absenter de mon travail.

J'aurai 31 ans dans près d'un mois, mariée et maman d'une magnifique jeune fille de 10 ans.Vers l'âge de 24 ans, je suis tombée dans l'anorexie.

Quand on a une profession dans le cadre de laquelle on est censé aider ceux qui ont des problèmes, il n'est pas possible de "craquer" ... Et pourtant, c'est justement ce qui m'est arrivé. Le fait d'aider les autres professionnellement donne de grande satisfactions sur le plan personnel, mais cette médaille a un revers : on devient aussi de plus en plus exigeant avec soi même, parfois sans en avoir conscience.