Nouvelles
Soirée-cinéma à propos d'un mal déchirant
28-04-2006
The Notebook donne le coup d’envoi à la 3e édition des Vues de l’esprit du Douglas
Montréal, le 28 avril, 2006 – Dans les résidences pour personnes âgées, au sein de plusieurs familles et partout autour de nous, des personnes sont atteintes de la maladie d’Alzheimer et de d’autres types de démences. Quelque 290 000 Canadiens de plus de 65 ans vivent avec cette maladie dégénérative et plus de la moitié de la population connaît une personne qui en souffre.
Le mercredi 3 mai prochain, les conséquences éprouvantes de la maladie d’Alzheimer seront abordées dans le film à succès The Notebook. Ce long métrage sera le premier de la série Vues de l’esprit du Douglas qui présente des films traitant de troubles de santé mentale. La soirée sera animée par deux experts en la matière, le chercheur Jens Pruessner, Ph.D., et la travailleuse sociale Katherine Thibodeau.
« Les familles ont besoin de sentir qu’elles ne sont pas seules », explique Madame Thibodeau, qui travaille à la Clinique de mémoire de l’Hôpital Douglas. « Un film peut constituer un moyen idéal pour illustrer leur quotidien et pour sensibiliser d’autres personnes à leur réalité. »
Les chercheurs ont découvert que la maladie d’Alzheimer – avec ses symptômes de perte de mémoire, de difficultés à exécuter des tâches quotidiennes et de changements d’humeur et de comportement – ne fait pas partie du processus normal de vieillissement. Toutefois, la maladie est plus commune chez les personnes âgées de plus de 65 ans et deux fois plus de femmes que d’hommes reçoivent un diagnostic de démence.
Au Centre de recherche de l’Hôpital Douglas, des équipes se penchent sur différents aspects de la maladie, dont les symptômes précoces, le rôle du stress dans la perte de mémoire et la santé des aidants naturels. D’autres chercheurs explorent les pistes génétiques et mettent à l’essai des médicaments prometteurs. Ces équipes étudient également les liens entre la démence et la dépression dans la population vieillissante et s’intéressent au rôle de l’œstrogène comme facteur de protection des capacités cognitives chez les femmes âgées.
Les recherches menées dans le laboratoire de Jens Pruessner, Ph.D. étudient les effets du stress sur les modifications hormonales de l’organisme et les liens entre ces changements et une dégénérescence accrue des structures du cerveau associées à la mémoire.
« On sait que le stress nuit au vieillissement normal. Des niveaux élevés de stress au cours de la vie peuvent conduire à une perte de mémoire, au diabète, à la dégénérescence de structures spécifiques du cerveau et à l’obésité», explique M. Pruessner, directeur de l’Axe de recherche Vieillissement et maladie d’Alzheimer au Centre de recherche de l’Hôpital Douglas.
Montréal, le 28 avril, 2006 – Dans les résidences pour personnes âgées, au sein de plusieurs familles et partout autour de nous, des personnes sont atteintes de la maladie d’Alzheimer et de d’autres types de démences. Quelque 290 000 Canadiens de plus de 65 ans vivent avec cette maladie dégénérative et plus de la moitié de la population connaît une personne qui en souffre.
Le mercredi 3 mai prochain, les conséquences éprouvantes de la maladie d’Alzheimer seront abordées dans le film à succès The Notebook. Ce long métrage sera le premier de la série Vues de l’esprit du Douglas qui présente des films traitant de troubles de santé mentale. La soirée sera animée par deux experts en la matière, le chercheur Jens Pruessner, Ph.D., et la travailleuse sociale Katherine Thibodeau.
« Les familles ont besoin de sentir qu’elles ne sont pas seules », explique Madame Thibodeau, qui travaille à la Clinique de mémoire de l’Hôpital Douglas. « Un film peut constituer un moyen idéal pour illustrer leur quotidien et pour sensibiliser d’autres personnes à leur réalité. »
Les chercheurs ont découvert que la maladie d’Alzheimer – avec ses symptômes de perte de mémoire, de difficultés à exécuter des tâches quotidiennes et de changements d’humeur et de comportement – ne fait pas partie du processus normal de vieillissement. Toutefois, la maladie est plus commune chez les personnes âgées de plus de 65 ans et deux fois plus de femmes que d’hommes reçoivent un diagnostic de démence.
Au Centre de recherche de l’Hôpital Douglas, des équipes se penchent sur différents aspects de la maladie, dont les symptômes précoces, le rôle du stress dans la perte de mémoire et la santé des aidants naturels. D’autres chercheurs explorent les pistes génétiques et mettent à l’essai des médicaments prometteurs. Ces équipes étudient également les liens entre la démence et la dépression dans la population vieillissante et s’intéressent au rôle de l’œstrogène comme facteur de protection des capacités cognitives chez les femmes âgées.
Les recherches menées dans le laboratoire de Jens Pruessner, Ph.D. étudient les effets du stress sur les modifications hormonales de l’organisme et les liens entre ces changements et une dégénérescence accrue des structures du cerveau associées à la mémoire.
« On sait que le stress nuit au vieillissement normal. Des niveaux élevés de stress au cours de la vie peuvent conduire à une perte de mémoire, au diabète, à la dégénérescence de structures spécifiques du cerveau et à l’obésité», explique M. Pruessner, directeur de l’Axe de recherche Vieillissement et maladie d’Alzheimer au Centre de recherche de l’Hôpital Douglas.