Nouvelles
Le point sur la santé mentale en première ligne au Québec
21-05-2009
Marie-Josée Fleury, Ph.D., a coordonné le numéro spécial de la revue Santé mentale au Québec, consacrée à la santé mentale en première ligne, dans lequel elle signe aussi l’éditorial. Ce numéro présente à la fois des articles de chercheurs, de cliniciens et de décideurs. Il vise un public académique et lié aux domaines de la gestion et de la clinique. Il contient des articles sur la réforme en cours, l’organisation des services et les bonnes pratiques.
La première partie débute par un article qui trace les grandes lignes de la réforme en cours (CSSS) et les enjeux de l’organisation des services de première ligne. Le deuxième examine les pratiques des médecins omnipraticiens, qui sont devenus la porte d’accès aux soins primaires. Un troisième article tente d’identifier les meilleurs traitements pour la dépression majeure, un des troubles mentaux les plus diagnostiqués et les plus traités en première ligne. Suit un portrait de l’ensemble des organismes communautaires au Québec et leur partenariat avec le réseau public. On discute ensuite des soins en santé mentale pour les jeunes, une priorité du Plan d’action en santé mentale. Le dernier article se concentre sur la « formation croisée » des professionnels de la santé.
Dans la deuxième partie, on s’interroge sur l’efficacité des omnipraticiens à détecter et à diagnostiquer les troubles de santé mentale. On examine ensuite les bonnes pratiques cliniques pour le traitement de troubles complexes de santé mentale, comme le trouble panique avec agoraphobie, le trouble d’anxiété sociale et les troubles de personnalité. Enfin, des modèles d’intervention sont proposés pour améliorer les services aux patients qui en souffrent.
L’éditorial de Marie-Josée Fleury, Ph.D., et le résumé des articles sont disponibles sur le site de la revue Santé mentale au Québec.
La première partie débute par un article qui trace les grandes lignes de la réforme en cours (CSSS) et les enjeux de l’organisation des services de première ligne. Le deuxième examine les pratiques des médecins omnipraticiens, qui sont devenus la porte d’accès aux soins primaires. Un troisième article tente d’identifier les meilleurs traitements pour la dépression majeure, un des troubles mentaux les plus diagnostiqués et les plus traités en première ligne. Suit un portrait de l’ensemble des organismes communautaires au Québec et leur partenariat avec le réseau public. On discute ensuite des soins en santé mentale pour les jeunes, une priorité du Plan d’action en santé mentale. Le dernier article se concentre sur la « formation croisée » des professionnels de la santé.
Dans la deuxième partie, on s’interroge sur l’efficacité des omnipraticiens à détecter et à diagnostiquer les troubles de santé mentale. On examine ensuite les bonnes pratiques cliniques pour le traitement de troubles complexes de santé mentale, comme le trouble panique avec agoraphobie, le trouble d’anxiété sociale et les troubles de personnalité. Enfin, des modèles d’intervention sont proposés pour améliorer les services aux patients qui en souffrent.
L’éditorial de Marie-Josée Fleury, Ph.D., et le résumé des articles sont disponibles sur le site de la revue Santé mentale au Québec.