La responsabilité criminelle d'un accusé atteint d'un trouble mental

Le laboratoire, dirigé par J. Bruno Debruille, M.D., Ph.D., tente de découvrir les mécanismes neurocognitifs des symptômes psychotiques de la schizophrénie, tels que le délire et les hallucinations.

Certains jeunes se sentent moins bien dans leur peau, ont des difficultés d'interaction sociale ou des échecs à l'école.  

Dirigé par Sylvain Williams, Ph.D., le laboratoire s'intéresse à deux structures cérébrales, l'hippocampe et le septum, qui sont en étroite interaction pour produire des aspects cruciaux de l'apprentissage et de la mémoire.

Le laboratoire de recherche sur les psychotraumatismes, dirigé par Alain Brunet, Ph.D., étudie l'impact des événements traumatiques.

Le GMES est composé de chercheurs indépendants, de chercheurs associés ainsi que de collaborateurs de recherche.

Le Groupe McGill d'études sur le suicide s'intéresse aux facteurs de risque associés aux comportements suicidaires qu’ils soient génétiques, biologiques, cliniques ou sociaux.  

L'équipe de recherche sur l'organisation et l'adéquation des services, dirigée par Marie-Josée Fleury, vise à développer des modèles de service optimaux pour améliorer la qualité du système socio-sanitaire.  

Le laboratoire s’intéresse aux effets du stress sur le processus de vieillissement et aux différences individuelles de réponse au stress.

Ce laboratoire, dirigé par Gillian O’Driscoll, Ph.D., étudie l’aspect neurophysiologique de ce que l'on considère comme des « marqueurs de risque comportementaux » de la schizophrénie