Non seulement l'environnement a une influence sur la santé mentale et physique, il peut modifier le fonctionnement des gènes dont on hérite à la naissance.

Le laboratoire dirigé par Salah El Mestikawy, Ph.D. étudie les neurones qui utilisent le glutamate, un neurotransmetteur excitateur impliqué dans tous les aspects du fonctionnement du système nerveux.

Le laboratoire dirigé par Cécilia Flores, Ph.D., étudie les anomalies cérébrales, au niveau cellulaire et moléculaire, responsables des comportements associés à la schizophrénie et à la toxicomanie.

Les membres du laboratoire de Patricia Boksa, Ph.D., étudient comment les complications à la naissance peuvent changer la manière dont les systèmes dopaminergiques du cerveau répondent au stress à l'âge adulte.

Le laboratoire, dirigé par J. Bruno Debruille, M.D., Ph.D., tente de découvrir les mécanismes neurocognitifs des symptômes psychotiques de la schizophrénie, tels que le délire et les hallucinations.

Certains jeunes se sentent moins bien dans leur peau, ont des difficultés d'interaction sociale ou des échecs à l'école.  

Le laboratoire utilise diverses techniques, dont la mesure in vivo de la prise alimentaire et des changements de température corporelle par télémétrie.

Les projets du laboratoire de neuroimmunologie utilisent une approche multidisciplinaire, allant des modèles comportementaux aux événements cellulaires.

Membres de l'équipe du Laboratoire de neuroimmunologie.

Dirigé par Giamal Luheshi , Ph.D., le laboratoire étudie les interactions entre le système immunitaire périphérique et le cerveau, au moment d'une infection ou d'une inflammation.