Le Groupe McGill d'études sur le suicide (GMES) réalise de vastes travaux de recherche sur les facteurs cliniques et comportementaux qui augmentent le risque de comportements suicidaires.

Les implications d'une personne jugée non-criminellement responsable

Certains jeunes se sentent moins bien dans leur peau, ont des difficultés d'interaction sociale ou des échecs à l'école.  

Le laboratoire étudie les effets du stress prénatal sur le développement de l'enfant et les facteurs de risque associés à la schizophrénie.  

Dirigé par Sylvain Williams, Ph.D., le laboratoire s'intéresse à deux structures cérébrales, l'hippocampe et le septum, qui sont en étroite interaction pour produire des aspects cruciaux de l'apprentissage et de la mémoire.

Le GMES est composé de chercheurs indépendants, de chercheurs associés ainsi que de collaborateurs de recherche.

Au Canada, le suicide constitue un grave problème de santé publique particulièrement chez les peuples autochtones.

Le Groupe McGill d'études sur le suicide s'intéresse aux facteurs de risque associés aux comportements suicidaires qu’ils soient génétiques, biologiques, cliniques ou sociaux.  

Natasha Rajah et son équipe utilisent l’imagerie cérébrale pour examiner les substrats neuronaux de l'apprentissage et de la mémoire chez les jeunes adultes en santé.  

La recherche est une partie importante et intégrale du PEPP. Les activités de recherche du Programme permettent aux patients et à leurs familles de profiter de nouvelles connaissances.