Le Groupe McGill d'études sur le suicide (GMES) étudie les changements moléculaires et cellulaires qui se produisent dans le cerveau des personnes qui souffrent de dépression et se suicident.

Non seulement l'environnement a une influence sur la santé mentale et physique, il peut modifier le fonctionnement des gènes dont on hérite à la naissance.

Dirigé par Thomas Brown, Ph.D. et Christina Gianoulakis, Ph.D., le laboratoire étudie la génétique des causes de la toxicomanie et de ses mécanismes sous-jacents et les marqueurs de prédisposition.

Certains jeunes se sentent moins bien dans leur peau, ont des difficultés d'interaction sociale ou des échecs à l'école.  

Le Groupe McGill d'études sur le suicide s'intéresse aux facteurs de risque associés aux comportements suicidaires qu’ils soient génétiques, biologiques, cliniques ou sociaux.  

L'équipe de recherche sur l'organisation et l'adéquation des services, dirigée par Marie-Josée Fleury, vise à développer des modèles de service optimaux pour améliorer la qualité du système socio-sanitaire.  

Le Centre d'imagerie cérébrale utilise l'imagerie cérébrale pour faire avancer la recherche en santé mentale.  

De l'information pour mieux comprendre les réactions qui peuvent apparaître à la suite d'un événement traumatique.

Les individus aux prises avec un trouble de la personnalité limite ont du mal à maîtriser leurs impulsions.

Les personnes souffrant de troubles anxieux rapportent que leurs peurs sont si accablantes qu'elles perturbent leur vie.