Montréal, le 2 février 2006 – Et si vous ne pouviez pas vous débarrasser d’un cauchemar? S’il vous hantait aussi bien le jour que la nuit? Pour les personnes atteintes du trouble de stress post traumatique (TSPT)

Des spécialistes de l’Hôpital Douglas discutent des façons de garder son état d’esprit en santé pendant cette saison.

Les chercheurs du Douglas s'attardent au lien entre les deux Vous ne savez plus où vous avez mis vos clés ou vous ne vous souvenez plus de votre numéro de téléphone? Peut-être faites-vous partie des 300

Des chercheurs présentent leurs résultats à la Société des Neurosciences.

Hou! Hou! Vous avez peur? Des chercheurs de l’Hôpital Douglas étudient le « phénomène de la peur »

Les personnes souffrant du TSPT ont généralement des souvenirs pénibles récurrents et des flashbacks, ou font des cauchemars à propos d’un événement donné.

Howard Steiger, Ph.D. a mené des études qui ont mis en évidence la complexité des interactions entre les différents facteurs génétiques, environnementaux et psychologiques qui peuvent se produire et mener à l'apparition de troubles comme l’anorexie nerveuse et/ou la boulimie.

Les travaux de Michael Meaney, Ph.D. ont démontré que la caresse maternelle peut non seulement être réconfortante et agréable pour l’enfant, mais également activer ou désactiver les gènes du système de réaction au stress.

Entre le taxage et la toxicomanie. Comment survivre à l'automne ?

Des hauts et des bas : l'Hôpital Douglas se penche sur les troubles bipolaires